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23 articles répondent à vos critères.

Principes d’information financière de l’IASB

Dans le cadre de son initiative relative à l’information financière et à sa thématique Better Communication 1, l’IASB a publié, le 30 mars 2017, un document de discussion relatif aux principes d’information financière. (suite…)

Intégrer l’Environnement dans les états financiers pour des décisions d’AG éclairées

L’importance de constater les incidences environnementales dans les états financiers Nous entendons par “incidences environnementales“, une dégradation accélérée du climat et du milieu naturel, des espèces et de leur habitat ainsi que des prélèvements sur des ressources non renouvelables. (suite…)

Fiscalité du financement participatif par les personnes physiques

L’économie collaborative est une activité à laquelle contribuent le plus souvent des particuliers qui, par l’intermédiaire de plateforme Internet, utilisent ou mettent à disposition d’autrui des biens ou des services. Dans une conception large, elle inclut la finance collaborative et, en particulier, le financement participatif ou crowdfunding qui est assorti d’une fiscalité aux multiples facettes selon qu’il s’agit d’un don, d’un prêt (crowdlending) ou d’entrer au capital d’une société (crowdequity) 1. (suite…)

Développement des partenariats pour nous aider dans nos missions de conseil aux entreprises

A l’aube d’une nouvelle mandature présidentielle, il nous est apparu opportun de présenter les nouveautés de ces dernières années, en matière de financement des entreprises. En effet, le financement participatif (crowdfunding) pour les entreprises s’est très fortement développé. D’ailleurs, la BPI, comme plusieurs autres investisseurs, vient de rejoindre la plateforme LENDIX de cofinancement des entreprises. Le financement participatif propose des complémentarités avec les financements traditionnels ; ses avantages vous seront exposés dans ce dossier. (suite…)

Financement par cession de créances et d’actifs

L’objectif de cet article est d’examiner le financement par cession de créances et d’actifs, susceptible de se traduire par une décomptabilisation des éléments correspondants du bilan, selon le référentiel comptable applicable. (suite…)

La séparation ordonnateur-comptable public : archaïsme ou faux problème ?

Le terme de comptable au XVIIIè et au début du XIXè signifie responsable 1, « être comptable de ». Le titre de comptable n’est sur cette période, donné qu’aux fonctionnaires de l’administration royale, alors que dans le secteur privé, le spécialiste de la comptabilité est un teneur de livres. Ce terme est repris dans des ouvrages plus récents 2 pour définir les comptables publics, « caissiers et teneurs de livres uniquement préoccupés par l’exactitude de leurs écritures et les conservations…

La révocabilité de l’option à l’IS des sociétés de personnes

« Choisir, c’est renoncer ! ». Cette affirmation d’André Gide 1 a nourri nombre de débats et réflexions dans bien des domaines. Elle suppose que tout choix implique une part de renoncement et un jugement de valeur entre ce qui est bénéfique et nécessaire. Or, aujourd’hui, nous ne dénombrons plus les SCI ayant opté à l’IS sous les conseils « avisés » de certains, ou par manque de diligences d’autres. (suite…)

Imposition des plus-values réalisées en Italie par des sociétés françaises

L’application de la Convention franco-italienne 1 peut parfois aboutir à des résultats paradoxaux, avec des taxations différentes concernant des cas pourtant similaires. La taxation de la plus-value lors d’une cession transfrontalière de participations substantielles par les maisons mère en est un exemple frappant. (suite…)

Non-respect des délais de paiement

La loi du 9 décembre 2016, dite loi Sapin II 1 comporte 169 articles portant sur des thématiques très diverses, dont le chapitre II consacré aux mesures relatives à l’amélioration du financement des entreprises. (suite…)

Attirer les investisseurs et sécuriser leurs réductions fiscales : la nouvelle équation à résoudre par le business plan

  Les personnes physiques investissant dans certaines sociétés bénéficient, sous de strictes conditions, d’une réduction d’impôt sur le revenu ou d’ISF. A compter de 2016, sous l’impulsion du droit européen, le bénéfice des réductions fiscales dépend également de l’existence et du contenu d’un business plan, ou plan d’entreprise, de la société recevant les investissements. (suite…)