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Formalisme du contrat : les points de vigilance pour éviter un redressement Urssaf

Selon que le contrat frais de santé est mis en place par accord collectif, de branche ou d’entreprise, par référendum ou par décision unilatérale de l’employeur, l’employeur doit être en mesure de produire au contrôleur Urssaf certains documents (précisés dans le tableau ci-après). A défaut, un redressement Urssaf est encouru, le contrôleur pouvant assujettir à cotisations sociales, la contribution patronale finançant le dispositif. (suite…)

Affiliation à la complémentaire santé : quels sont les cas de dispense autorisés ?

Au 1er janvier 2016, date à laquelle les entreprises doivent avoir mis en place un dispositif de complémentaire santé pour leurs salariés, de nouveaux textes relatifs aux cas de dispense entrent en vigueur en application de la loi de financement de la Sécurité sociale pour 2016, dont le non-respect peut entraîner un redressement Urssaf. (suite…)

Régime social et fiscal de la complémentaire santé

Pour le législateur, la couverture complémentaire santé est un régime de prévoyance au même titre que l’incapacité, l’invalidité ou encore le décès. Son régime au regard des cotisations sociales et des impôts, est donc, en principe, traité dans cet ensemble. (suite…)

Généralisation de la santé : une idée généreuse semée d’embuches

La généralisation des frais de santé au 1er janvier 2016 impose aux employeurs de mettre en place une couverture santé minimale financée à 50 % par l’entreprise. De nombreuses questions – qui ne sont pas des “détails“ – restent toutefois à régler. (suite…)

La portabilité de la complémentaire santé et le maintien des droits

La portabilité permet, sous conditions et pendant une durée limitée, aux salariés quittant l’entreprise, de bénéficier du maintien des garanties de protection sociale complémentaire dont ils bénéficiaient dans leur ancienne entreprise. (suite…)

Généralisation de la complémentaire santé : textes et calendrier

En 2012, le Président de la République affirmait sa volonté de généraliser d’ici 2017, l’accès à l’assurance santé complémentaire pour tous les Français, principe repris par l’Accord National interprofessionnel (ANI) du 11 janvier 2013, et transposé dans la loi de sécurisation de l’emploi du 14 juin 2013, pour les seuls salariés du secteur privé. Ainsi, ne sont pas concernés les travailleurs indépendants, les mandataires sociaux, les chômeurs de plus d’un an, les retraités, les salariés du secteur public… Au final,…

L’information des salariés et des représentants du personnel

Lors de la mise en place d’un régime de protection sociale complémentaire, de sa modification ou de sa résiliation, l’employeur doit informer les représentants du personnel et les salariés. L’information des salariés est un élément essentiel car, à défaut, la responsabilité de l’employeur peut être mise en cause et donner lieu au versement d’importants dommages-intérêts. (suite…)

Comment choisir l’organisme assureur ?

Les organismes habilités à mettre en œuvre des opérations de prévoyance complémentaire d’entreprise sont les sociétés d’assurance, les institutions de prévoyance et les mutuelles. Ces organismes ont le monopole concernant la couverture des risques suivants : décès, incapacité de travail, atteinte à l’intégrité physique de la personne ou liés à la maternité, invalidité et chômage. En principe, l’employeur a le choix de l’organisme, à moins que l’accord de branche n’en désigne un. (suite…)

Le contenu du contrat frais de santé : la couverture minimale obligatoire

La loi de sécurisation de l’emploi du 14 juin 2013, transposant l’Accord National Interprofessionnel (ANI) du 11 janvier 2013, prévoit la généralisation de la complémentaire santé avec une couverture minimale au plus tard le 1er janvier 2016, pour tous les salariés, tout en prévoyant un certain nombre de dispenses. Ce socle minimal, appelé “panier de soins“ a été précisé par un décret du 8 septembre 2014 1. (suite…)

Nature du contrat frais de santé : un contrat responsable

Les contrats conclus avec les organismes assureurs en vue d’assurer la couverture minimale doivent respecter les conditions requises des contrats “responsables et solidaires“ 1. A défaut, les contributions patronales finançant ces dispositifs sont assujetties aux cotisations sociales, la cotisation des salariés est soumise à l’impôt sur le revenu et la taxe sur les conventions d’assurances est portée à 14 % (au lieu de 7 % si les conditions sont respectées). Il faut donc non seulement que le contrat de complémentaire santé…