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La culture agricole des experts-comptables

Les 515 000 exploitations agricoles doivent faire face à de multiples contraintes : augmentation de la productivité, faiblesse de la rentabilité, financement d’investissements conséquents, baisse des aides publiques, prise en compte de l’environnement, respect de normes sanitaires pointilleuses, compréhension de règlements pléthoriques. Il faut constater que seule une minorité d’experts-comptables domine les spécificités comptables, juridiques et fiscales de ce secteur aux aspects très variés. Les experts-comptables doivent donc acquérir une “culture agricole“. (suite…)

Agricole

Les entreprises agricoles évoluent dans un contexte particulier au regard du droit, de la fiscalité, de la comptabilité. Nous avons souhaité au sein de ce dossier faire un point sur les spécificités impactant ces entreprises. (suite…)

Coopératives agricoles et filiales commerciales : jusqu’où aller ou… ne pas aller ?

Historiquement la coopération agricole se définit comme un mode d’exercice en commun, d’activités économiques reposant sur la pratique de la solidarité, à l’avantage et aux risques des participants. Une coopérative est donc une entreprise qui prolonge l’activité de ses membres et l’en rend indissociable. (suite…)

Réflexion sur l’inscription des éléments incorporels à l’actif du bilan des coopératives agricoles

La Commission commune de la doctrine comptable de la Compagnie Nationale des Commissaires aux Comptes et du Conseil Supérieur de l’Ordre des Experts Comptables a eu récemment à se prononcer sur le traitement comptable du mali de fusion technique déterminé lors de la fusion absorption d’une société commerciale par une coopérative agricole. La question portait sur la comptabilisation de ce mali dans les comptes annuels de l’entité absorbante. Alors qu’un mali technique n’est jamais amortissable dans les fusions de sociétés…

Evolution de la norme IAS 41 sur l’agriculture

La norme IAS 41 sur l’agriculture prévoyait jusqu’à maintenant que tous les actifs biologiques liés à l’activité agricole étaient évalués à la juste valeur moins les coûts de vente, en se fondant sur la constatation que ce mode d’évaluation est celui qui reflète le mieux la transformation biologique de ces actifs. Un certain nombre de personnes intéressées ont fait valoir que le modèle de la juste valeur n’était pas approprié pour les actifs biologiques ayant une fonction de production. Pour…