Lorsqu’un internaute navigue sur Facebook ou Google+, publie des informations sur Twitter, ou poste son CV sur LinkedIn, il ne surfe pas simplement sur le Net : il se créé un véritable avatar virtuel. De son vivant, l’internaute a de multiples possibilités pour stocker sur les réseaux sociaux, une immense quantité d’informations. A sa mort, se pose alors la question du devenir de ces données, tant du point de vue du défunt que de ses proches ou de ses héritiers.…