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Assurance vie : comment protéger son conjoint et ses enfants ? Utilité d’une clause bénéficiaire à options ou à tiroirs

Transmettre des capitaux à ses proches à son décès constitue un objectif patrimonial souvent recherché. (suite…)

Les primes manifestement exagérées

L’assurance-vie en cas de décès (telle que par exemple, l’assurance en cas de décès dite “vie entière“, par laquelle l’assureur garantit lors du décès de l’assuré et à quelque date qu’il survienne le paiement au bénéficiaire du capital fixé au contrat, ou l’assurance dite “mixte“, dénouée en assurance décès, qui a connu son apogée il y a quelques années), souscrite par des personnes âgées, peut devenir un mode de transmission du patrimoine ; elle devra se confronter aux règles des…

Assurance-vie : la clause bénéficiaire démembrée

Le démembrement, qui prend une part toujours croissante dans la gestion et la transmission de patrimoine, intéresse l’assurance-vie à deux titres : • d’une part, il autorise la modulation dans le temps de l’attribution des capitaux, en permettant de prendre en compte différentes contraintes, tels que les risques liés au jeune âge des bénéficiaires ou leurs besoins spécifiques de complément de revenus ; il se traduit dans ce cas par la rédaction d’une clause bénéficiaire démembrée, • d’autre part, le…

Les pièges de la clause bénéficiaire

La désignation du bénéficiaire est une prérogative qui appartient au souscripteur. Matériellement, la clause bénéficiaire peut être rédigée soit sur le bulletin d’adhésion au contrat d’assurance, soit par lettre adressée à la compagnie d’assurance, soit par testament. Normalement, le souscripteur a pu bénéficier d’une information sur les modalités et les conséquences attachées à la désignation bénéficiaire. Force est pourtant de constater que les pièges restent nombreux : absence de désignation bénéficiaire, langage mal choisi, désignation maladroite d’un conjoint ou croyance…

L’assurance-vie

L’assurance sur la vie couvre de multiples formules, qui pour certaines s’inscrivent dans une logique de prévoyance. Le point commun à toutes est la présence d’un aléa (c’est un marqueur du contrat d’assurance). En l’absence de ce dernier élément, il s’agira d’une autre opération, soumise à un autre régime. L’acceptation du bénéficiaire est également un point, pratique, important qui a soulevé des controverses. Enfin, l’assurance-vie en cas de décès devra se confronter aux règles des successions et des libéralités et,…