La traduction du risque dans les états financiers se caractérise par une analyse séquentielle de la probabilité d’occurrence et de la capacité à en estimer les conséquences. Ce mode d’analyse conduit à ne pas rendre compte des risques extrêmes, dont la probabilité de survenance est trop incertaine, et ce, indépendamment des montants en jeu. Pourtant, plusieurs catastrophes récentes, dont l’accident de Fukushima en 2011, rappellent qu’une information financière sur les risques extrêmes serait souhaitable. Mais pour cela, il faut faire…