S’il était possible d’une part, de réussir la transformation de nos métiers, d’autre part, de susciter, générer, nourrir, l’engagement de nos collaborateurs... Les adeptes de « yaka fokon » rêvent d’une règle toute faite, applicable, quels que soient le contexte et les personnes. Ils passent à côté de bien des bonheurs, dont celui de découvrir leur propre leadership. (suite…)